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Top Semence augmente la rémunération de ses producteurs-multiplicateurs

Didier Nury, directeur général de Top Semence, a dressé le bilan de l’exercice 2021-2022 à l'AG le 8 décembre dernier. Photo : Top Semence

Le 8 décembre, Top Semence a tenu son assemblée générale en présentiel. L’occasion pour son président, Yves Courbis, et son directeur général, Didier Nury, de dresser le bilan de l’exercice 2021-2022. Top Semence augmente la rémunération des producteurs-multiplicateurs de maïs et tournesol pour 2022.

Terre Atlantique : un objectif de 17 000 t de blé pour Harrys

Ce 30 novembre, Jean-Yves Moizant (à gauche) et Christian Cordonnier, respectivement président et DG de Terre Atlantique, ont fait un point sur l'année 2022 et les perspectives pour 2023. Photo : Terre Atlantique

Pour 2023, Terre Atlantique espère commercialiser 17000 t de blé tendre à Harrys et 3000 t de blé dur à Panzani. Outre une orientation de ses débouchés vers les filières de qualité, la coopérative teste de nouvelles cultures comme l’angélique et le chanvre textile.

Découvrez le podcast avec Thomas Blervaque de Lemaire Deffontaines

Depuis juin, Circuits Culture vous propose des podcasts. Dans ce troisième épisode de l’émission « Le dirigeant à mission », vous y découvriez le portrait de Thomas Blervaque, futur dirigeant de Lemaire Deffontaines.

Lemaire Deffontaines : une nouvelle direction en 2023

Pour Thomas (à gauche) et Louis Blervaque, l’objectif est d’arriver à avancer, à se challenger, tout en étant curieux sur toutes les activités de l’entreprise familiale Lemaire Deffontaines. Photo : S. Bot/Media et agriculture

Louis et Thomas Blervaque, âgés respectivement de 31 et 36 ans, vont reprendre les rênes de Lemaire Deffontaines en 2023. Après avoir travaillé dans l’industrie et dans les levures, les deux frères comptent s’appuyer sur leurs expériences précédentes pour opérer quelques ajustements. Mais il n’y aura pas de révolution dans cette entreprise familiale qui a fêté ses 150 ans en 2018.

Un plan filière dans les tuyaux

Didier Nury, vice-président de l’UFS et directeur de Top Semence : « Les jeunes agriculteurs sont de moins en moins intéressés par la production de maïs semences qui demande de la rigueur et du temps. » Photo : UFS

En Europe, les surfaces contractualisées pour la production de semences sont en berne. Le contexte économique en est la principale cause et des répercussions sont à prévoir pour les prochaines campagnes. La filière française tente de trouver du soutien auprès du nouveau Gouvernement.

Une quasi-stabilité du plan de production en France avec 84500 ha

3229 agriculteurs multiplicateurs sont impliqués dans la production de maïs semence, mais ce nombre est en baisse de 5% en 2022. Photo : olivierguerinphoto

84500 hectares, c’est le programme de production de semences de maïs mis en place en France en vue de la campagne 2022-2023.

« Un chiffre qui marque une quasi-stabilité du plan de production France par rapport à 2021, et confirme la place de la France en tant que premier producteur européen de semences de maïs », indique Maize in France.