La Coopération Agricole Métiers du grain

Le tournesol, lueur d’espoir pour la prochaine campagne de printemps

Photo : Rudy/Adobe stock

Un prix du blé à plus de 400 €/t à la mi-mai 2022, un prix du colza qui atteint 1 000 €/t pendant plusieurs jours… ces chiffres auraient donné le tournis il y a quelques années. Mais, aujourd’hui, le contexte géopolitique et l’économie bouleversent les marchés agricoles. Si ces prix semblent prometteurs pour les agriculteurs, ceux des intrants suivent également la même tendance.

Un bouclier énergétique pour éviter l’arrêt d’activités des coopératives

« Nous avons besoin avant le 1er janvier 2023 d’avoir un bouclier énergétique efficace, facile d’accès et rapidement mis en œuvre », soutient Antoine Hacard, président de LCA métiers du grain. Photo : S.Bot/Média et Agriculture

Avec les risques de pénuries sur les engrais et les hausses de prix de l’énergie, La Coopération agricole métiers du grain suit particulièrement deux dossiers : disposer d’un bouclier énergétique efficace et rapidement mis en place, et accéder aux engrais de l’usine d’Eurochem Anvers.

La décision du Conseil d’État fait polémique

Photo : Mickael/Adobe Stock

La décision prise le 7 février dernier par l’autorité administrative, enjoignant le Gouvernement français d’étendre la réglementation OGM aux semences végétales issues de mutagenèse, a provoqué un tollé chez de nombreuses organisations agricoles et agroalimentaires. Elles craignent notamment un coup d’arrêt porté à l’innovation variétale.

Séparation vente/conseil des phyto : « Un report de six mois voire d’un an »

Anne-Laure Paumier et Antoine Hacard, respectivement directrice et président de La Coopération Agricole métiers du grain sont revenus en détail sur le dispositif de la séparation de la vente et du conseil des phyto. CP : S.Bot/Média et Agriculture

Pour Antoine Hacard, président de La Coopération Agricole métiers du grain, la majorité des coopératives devrait se positionner sur la vente des produits phyto. Elles ont la responsabilité de ses collaborateurs qui y travaillent. De plus, les adhérents souhaitent que leur coopérative continue cette activité.